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Show 180 A R L E Q U IN A R L E Q U I N . Fort bien. Et vous fakes circuler le Doc-teur a fon tour. A I R 7. (Tu croyois, en aimant Colete) Mais quel eft ce grand Efcogrife Qui roule un rocher fur ce mont ? N'eft-ce pas le pauvre Syfiphe ? B E L P H E G O R . C'eft le Poete Rodomont. • A R L E Q U I N.. Oh, ho ! B E L P H E G OR. A 1 R 1 $ 8. ( Vautrej our au bord d'unefentaine) Ce pied-plat dc Poete Lyriquc Fit grand nombre d'Opera: Partout il y ctefigura Le: Dieux & la gent Diaboliquc;. Aufti les vit-on trcbucher Toujours comme ce rocher. A R L E Q U I N . A I R 9£.\ §^and on a pronence ce malheureux Oui) Y fera-t-il long-terns ? Quandluiferez-vous grace?, BEL, T R A I T A N T . igl B E L P H E G O R . Lorfqu'un parcil Auteur viendra prendre fa pla« ce. A R L E Q U I N . S'il ne faut qu'un Auteur d'un mauvais Opera; * J'en vois un prcs d'ici qui le rcmplacera. * Arlequinmontre du doigtunhommeaffts fur U Theatre parmi les Speclateurs. Cet homme fe leve en colere, V apofropbant Arlequin, lui dit; L'H O M M E. A qui en veut done ce Maraut-la? (aux perfonnes qui font a cote de lui. ) Laiflez moi pafler , s'il vous plait , Mcf-iiears. . Il savance fur le Theatre d'un air furieux, er dit, en donnant de fes gands par le vifage d*Arlequin *<r de Belphegor; Vous £tcs dc plaifantes canailles de..* A R L E Q U I N , fe demafquant. C o m m e n t , Monfieur , eft-il permis de venir aind fur un Theatre interrompre un Spedtacle? L ' H O M M E , donnant un coup depoing a Arle- (quin, Tai-toi, gueux. H % ARLE- |
