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Show ENTRETIEN 20n Simpl ppeler 1 feumaternel iéte d'é L, poue bie alousie da pétres euy perfection'eaux, de des notes rchestre e Ines que st Pas S0u e des pavi SU L DANSE 33 Sophie , que j'eus le plaisir de vous voir pour l premiére fois : vous n'étiez inférieure a aucun de vos rivales, et vous aviez de plus ce charm du regard et du sourire , cette ravissante expression de physionomie que nulle d'entr'elles n connut jamais aussi bien que vous. Mais, tout e causant, nous sommes arrivés aux soirées d M. Coulon, nous voici 4 nos plaisirs de la veille Je puis crier, comme le matelot troyen : ftaliam Ltaliam SorniE. - Du latin , mon ami! vous savez qu je suis trés-sensible i vos éloges et aux souvenir des soirées de M. Coulon; mais, si vous voule que je comprenne vos complimens, faites-le du moin mots-la e frangais Qu veulen dire ce fection d encore dan archesde l lait tout c Moi. - Ils veulent dire, chére amie, que d'aprés vos ordres, j'entrepris, il y a plus d'u efait. Laplu an, d'écrire I'histoire de votre art; que, tantdt e péunie. Un me consolant de votre absence par les lettres qu g sa\'ait de On'au[flm d s prestie fons Jur paissenrs it [ exame est ]El, cher je vous adressais, tantot en mettant a profit votr présence par des conversations toujours agréable pour moi, puisque vous en étiez l'objet; ja parcouru, dans toutes ses parties, un pays qu m'était enticrement inconnu, et qu'enfin nou sommes parvenus tous deux , presque sans nou |