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Show )L ENTRETIEN TEDrese Snen (i O, e 1 % du g 'S vers, B 1 des deggp L Le plu g de ce siecl de Medics p P‘;r'lullt qu 0%es D (o 1 si{'dt‘ R yieut, a couvrir les Saint-Barthélemi, quand on médit 1 nit ul\"\t‘ui'« \Le h de la Gree M : Jes 8 des crimes an milicu des fétes; quand on désign de I'ceil, parmi les danseurs, les victimes et le bourreaux, et c'est ce que des historiens du tem rcprochent & Catherine de Médicis*; il n'y eut clean.sh data import.tsv out README Voyez le premier volume des Issais de Traduction , pa Aignan. Il y a un passage curieux traduit de l'italien sur le preperaiifs de la Saint-Barihélemy are. 16 nous prenons toujours des nuances plus ou moin lortes du caractére de ceux avec qui nous vivons Vous finiriez par me rendre aussi grave que vous Pour en venir & ma réflexion, je crois, en vérité que nous valons mieux que nos péres. Au moins savons-nous mettre dans nos {étes plus de galanterie qu'eux, et autant de volupté, sans déguise les marquises et les comtesses en bacchantes Mor. - Vous avez raison, mon amie; et l pire de tout, c'est quand les bacchanales serven Criplion ctes, dont 1 et de ['ima'abord BalEurope.L LA DANSF divertissemens de la cour d'Henri HI; sa meér avait mis au nombre de ses moyens de politiqu la corruption du ceeur de son fils. Le roi, dans le fétes, se déguisait en femme, les femmes e hommes; et dans un bal donné par la reine Henri 111, les plus belles dames de la cour servirent la gorge découverte et les cheveunx épars Sormie. - Mon ami, je vais vous faire une réflexion bien sérieuse; mais nous autres femmes ehop p c SU lq |