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Show NSE LETTRE e dnll p&l‘h‘, ‘ a0t Panc e a it | te te, 0S e hoj §a3y df‘,\' p\"‘ t:l‘ifln et des Cymbales, ] }H‘M{‘ A . }lf.:{lt‘(lit'[ill. O te danse, ( To ' S0CIELe. ) You surtont 4 exami161 nous met sou omme §1] y avai anse otait divise fenétre, et le méprisa dans son ceeur: elle ne lu dissimula méme point son mépris, et, quand il fu rentré. chez lui, « N'est-il pas bien glorieux, lu » dit-elle, pour un roi d'Israél, de se découvri » devant les servantes de ses servantes, avec l » méme impudence qu'aurait pu le faire un mi» sérable! » David répond qu'il veut danser devant le Seigneur, et que si les servantes y trou tion subite 4 I'opéra, je pense souvent a Michol et suis tenté de m'écrier avec un vieux rondeau « Bien dommage est que ceci soit sornettes Filles connais, méme des plus jeunettes ta bien accorde A qui de Dieu tel chdatiment viendrai Bien a propos. mmen | drai 7, MOL amie, A "‘imlf‘ :',ms*‘ y p""" » o I'e A 1 J (fllx 1 Y& Vous ne vous douteriez pas que le roi Davi ait trouvé an commencement de ce si¢cle des imitateurs jusqu'en Amérique. En 1806, il s'est établ dans la nouvelle Angleterre, une secte des Jums '1‘.) : { ¢coutez la punition qui attend Michol pour se mauvaises plaisanteries : « Et Michol, fille d » Saiil (est-il dit plus bas), n'eut point d'enfans » depuis cet instant jusqu'a sa mort. » Les tem sont bien changés, ma Sophie, et quand je voi une bande de papier m'annoncer une indisposi Nt avee un gou ~mellemen lovan LA DANSE vent a redire , il se fait gloire de sa honte. Mai ctazent des pet, point pedantes 1‘.. ne vous pom SU pers o du sain le plu sauteurs, qui, sappuyant sur I'exempl roi, regardent la danse comme le cult agrdable 2 la divinité. 1ls se réunissen |