OCR Text |
Show .. ‘.‘..‘v.,\‘xx'v.",'w oo s ot 108 THOUSS W -pie pass de avai o opéra tou E sacré de act e prem a te muse de an prologu Ulv oeg k' ner. Point du tout, ces diverlissemens étaien fixés, et 'on ne sortait jamais de la routine con ah ti ‘os ‘l tambourins au second; des chaconmnes et des pas sacailles au troisi¢me et au quatrieme; et, pou varier, des passacailles ct des chaconnes, et de tambourins , et des musettes et des passe-pieds En tout cela, ce n'était pas la marche de I'opér qui décidait, mais des comsidérations qui lu étaient tout-h-fait érangeres. Tel danseur excellai T - T . S8 - V M‘A&&"fl‘- - s T gl Vs, 1 isea i fir gt qu S PN wriectionnemen - Eh bien! il en était de mém HiracrLiTE pour ladanse. Le ballet d'action n'était pas encor créé , mais on avait le ballet-opéra etles divertissemens des opéras; on aurait pu les perfection - ;'.f‘:)l@, de ne pa D mme de géllie 5 e A ¢ s'éiwigxer tro par [expérienc ur g ;fws\nm‘ds des mog g Eyla dange, au etoujours Je mé rer d'np pas. J hommes habiles ont voulu faire subir a notre systéme dramatique , aussi fécond peut-étre en erreurs de théorie, qu'il T'est en chefs-d'ceuvr d'exéeution ! On aimait les vers de Quinault, e I'on était las de la musique de Lully ; mais, comm celte musique avait €été primitivement attaché aux pieces de Quinault, on ne souffrait pas qu'aueun compositeur s'exercat sur ces picces , et il n fallut pas moins que tout le génie et 'adresse d Gluck pour faire rapporter cette loi el e, (y p Au milieu de quels sifflemens et. de quels combats se sont hasardées les modifications que de e A ot cely d & que |y faibleg 22 i AR R T pendap ) ENTRETIENS SUR LA DANSE ANSE |