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Show 3E | ) ‘ LETTRES SUR LA DANS 1,‘111(\10Y'b balustrade. O d'Oter nos sop ir 4 euy dan PeClateur - Geyggy I a porte, étaien N S ec des tamboubord les dervis Ir poitrine, e e Imaln,, com I e S up peli d :M\)\emru A0 SUPRTIE ‘;}xp‘u}‘é contre l J p rte ;fw' [2 mos N ' pres [autr cJutation L N orelle aglite N ahord assez dou N 1 dr'})\n‘)'\ 65 411['"‘1 3 'A';I ( - ment CIrCu . nm'lt' Jasieurs pirt o [ ard Ps L;xlt'\"‘"r" ient degi l\ ur telé;" yujours ) gsal N Ilm 4 On les voyait, les bras horizontalement étondus les yeux fermés, et tournant avec une 1m concevable rapidité : la musique, accompagnée de VOIX, servait i les animer ; et, pendant ce tems un vieux dervis, en pelisse verte , S€ promenai tranquillement au milieu d'eux, avec un maintien assuré, mais exprimant autant d'attent o et d'inquiétude , que s'il ett di expirer a la p u légere finfraction aux rites de la cérémonie Nous remarquimes que tous , dans cette d nse observaient la méme meéthode; ¢'était de t urner un de leur pieds, et d'en fléchir le orteil en-dedans, autant que possible, a chaque ouvement du corps, tandis que Pautre pied onservait la position naturelle. Les plus vie x d ces dervis paraissaient exécuter cette opéra io avec st peu de peine et de fatigue , que,, algr la violente agitation de leurs corps, leur visages €taient ceux d'hommes plongés dan u sommeil tranquille. Les plus jeunes tour aien avec autant d'agilité que les autres; mais ll paraissait en eux le résultat d'une op ratio moins mécanique. Cet exercice extraordina r dura pendant quinze minutes, et 'on peut s pposer quun tel mouvement ainsi prolong serait capable d'6ter la vie. Nos yeux, fatigués d spectacle de tant d'objets tournant i J fois commencaient i en souffrir. Tout & cou , su |