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Show LETTRE A* L 4wy se patl 00Dy e Upes compli 0t traxe par Compagnes d d'u nombye 10usiasme qui 7ala presque J chions du theiVESes, ensan hvise entre Je 5 les p\us Vi henter, a de es. Y ous m 1o0e 5. est pe Coli SU L DANSE 13 D'abord le nouvel art au théitre exercé Par des maitres nombreux fut bientdt professé Au sénateur oisif et lourdement frivol Il fallut qu'un déeret interdit leur école La scéne en factions divisa les Romains Arma des bleus, des verts les imprudentes mains Deux fois la Macédoine, en désastres féconde Avait vu leurs ateux risquer le sort du monde Les enfans des consuls et des triomphalteur Combattaient maintenant pour le choix des acteurs Au ridicule aspect de ces partis aux prises Soit que Néron craignit'de nobles entreprises Et le soudain réve ] des peuples enhardis Soit qu'il voulit punir ses rivaux applaudis O vit les histrions chers 3 Rome en délire Bannis par I'histrion qui gouvernait Pempire Mais sous d'autres tyrans ils furent rappelés Enivrés de faveurs, de richesse accablés Et Rome, au sein des jeux se consolant des crimes Veuve de ses héros, chanta ses pantomimes. En effet, Tibére,Caligula, Néron les chasséren et les rappelérent tour-a-tour. Mais les disgrices comme les honneurs, ne faisaient qu'augmente leur insolence. Péris, 'un d'eux, osa porter so audace jusqu'au lit de Domitien. Lui et son éleve dont tout le crime était une ressemblance extérieure avec son maitre , furent immolés 4 la jalousi du tyran, et tous leurs compagnons bannis. 1 était trop tard; les sénateurs, les chevaliers, le dames romaines ne pouvaient se passer de ce istrumens nécessaires 2 leur oisiveté et a leur débauches. Des bals, dit Berchou « Des bals et des ballets le gout se conserv Jusqu'au regne du Prince adopté par Nerva |
