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Show LETTRE | oupes g U du mongy, DUCSentes A les ambassy e A frique e it escortse upe de | \men Pai dit, cette mani 5 danses; 1l y enfans degui erroquets. D 15, montes su iné par W dr des habits n pent du balle de | h oy 1 sppeu ‘ ap Ln cellente A{'FIU"T‘? N § L 1 (‘le(‘bl L DANSE 2 Enfin, malgré le cardinal Ximenés et les Limosins, malgré la reine Elisabeth et les Jésuites le bon gonit, la décence publique et les progré des arts, plus encore que les Papes ct les Parlemens , firent justice de la danse sacrée, et la reléguerent, avec les tragédies des mysiéres, dan le domaine de I'érudition; mais, comme je vou eC ley matioy SU était profondémen enraci née dans les esprits, et avait produit quelquefoi des événemens bien singuliers. Je vous en citerai un exemple remarquable Il me semble avoir lu dans quelqu'auteur que les habitans d'une ville grecque , apres un représentatio d ' Andromed d'Euripide de vinrent fous de tragédie, mais bien réellemen fous. La fiévre les prit, ils couraient les rues péles, maigres, nus, déclamant 4 haute voix e avec d'effrayantes contorsions un certain monologue de la pi¢ce. L'approche de Phiver et u saignement de nez assez abondant chassérent l maladie. La méme chose arriva en France, a rapport de Mézeray , sous le regne de Charles V I'an 1373. Vous voyez que ce n'est pas d'aujourd'hui que la danse fait tourner la téte aux Parisiens: 1l n'y a quune différence enire les deu aventures; c'est.que les prétres d'Abdeére ne s'a' Lucien, de la Manié¢re d'écrire I"Histoire |