OCR Text |
Show ME ENTRETIEN Veny } o b+ ¢ toug Jo _‘v ‘f i 1‘1.{3!\ L Q gy h 4 t R g €04 deyy y anle de ge toyy Le pett Mler un pea d rs; mats leur neau., qu'fm ansier P e OI tenu d 5 peli Me "Tusio Iey qu‘x wtendai 2000 b R - 1‘- o fi,,;m‘l» ' Jont e o faut o la libert 120105 |f fpt) t SU L DANSE 21 tant vante , ne réussit guéres mieux. La musiqu francaiseressemblait toujours,, comme disait JeanJacques , a une vache qui batifole; et plus d'u siecle se passa avant que nous eussions ce qu'o put appeler une musique dansante. Et puis, e supposant qu'on eut de la musique , il n'y avai pas de danseurs. Jusqu'au moment de la créatio de l'opéra, la danse était un spectacle uniquemeut réservé pour la cour; les personnes de qualité seules savaient .- danser. L'opéra en fit u spectacle public ; mais on eut pour toute ressourc au commencement quelques maitres de danse e si petit nombre , et tellement médiocres qu'on n pouvait monter aucun ballet sans s'adresser au danseurs de la cour. C'est ainsi qu'au ballet de Fétes del' Amour et de Bacchus, donné , en 1672 par Lully et Desbrosses , on vit le grand écuyer les ducs d marquis d Louis X1V Beauchamps danseurs for Montmouth et de Villeroy, et l Rossen, danser en public devan et ils choisirent pour leurs partner Saint-André , Faviere et La Pierre insignifians, quoique les premier de leur siecle HiracrLiTe. - Mais 1l me semble , Mousieur que vous parle bien légéremen n'étaient pas dénué de tout d'homme espec qu de mérite J'ai recueilli avec soin tout ce qu'on a dit ou écri |