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Show LETTRE SUR LA DANSE 1 cet abime de la barbarie , qui, dans Phistoire d tous les arts, sépare toujours les chefs-d'ceuvr antiques des chefs-d'ceuvre modernes. Dans I'espace qui nous reste i parcourir pour arriver justrouve des § 'HSJ?U}UUF/ it mdionatio re de liu@un N avouant qu 2 e laver dan € peuvent ra qu'a notre ige, vous ne trouverez, je dois vou en prévenir, ni plus de passion et de volupté qu dans les danses indiennes; ni plus de grice de dignité, de philosophie que dans les danse grecques; niplus de perfection et de'connaissanc de I'art que dans les danses romaines; et si , a milieu de I'éclat des fétes d'Italie et des merveille de Louis X1V, vous croyez qu'au moins nous sur danse ne fin passons I'antiquité en magnificence , et que , n pouvant faire Vénus plus belle, nous la feson eurs ne fure je serai encore forcé de vous détrom , 00us devon 7es par ses de les ban wphc pine 03 n&wfll fl fl s \ Q ‘ L é [¢ f [y T LJ 1';Ll']‘«‘ o romain a0 hedl V a ~;N v Hu\féadv per, en étalant & vos yeux les pompes des Ptolémdes et les magnificences des empereurs romains Cela n'est pas trop galant de ma part; il vaudrai bien mieux, je le sens, dire a une jeune Francaise justement passionnée pour son pays : Qui a y Iopéra de Paris a tout vu. Mais aussi, de quo vous avisez-vous de me mettre au nombre de historiens, de ces gens sans préjugés, sans patrie concitoyens de tous les lieux , contemporains d tous les siécles, et qui ne transigeraient pas mém avec I'enthousiasme patriotique d'une jolie femme Transigeons cependant; je ne vous étalerai pa Pappareil des fétes grecques et romaines, quivou plus riche U |