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Show S LETTRE \ u0ln p qum pl'&_\ Tl »,p_f‘.,'_ dll t.l\tl}\.?k er‘.fl Alre yp P'ffipffi entoares ' licats, jouissan , 101 0 avion Votre religio auciel en rerle ciel donn e la nature :up(‘ys\'\‘[\o us une form ) Y05 POELe dieux' ; pou y\re amour. L " o 0 .m‘\w\'\{f ,‘ \?L\‘i g eyenemens " 1'1 W‘ ln monae U Bau *flues"flTfl atai }'v[ (7 b 205, pu ,JI j J - 7 Mais un tel art ne pouvait rester long-tems e fermé dans les limites des temples. Ses ava tage n'échappérent point 4 I'attention des législa eurs et ils ne tardeérent pas a s'en emparer. Leur b était de former des armes & la fois indom table et modérées, des corps non moins beaux ue vigoureux. Les hommes des premiers ages, f rcésd lutter contre les élémens, dont les limites é aien encore indécises; de combattre les anima x qu leur disputaient le séjour du monde nai sant étaient intrépides et infatigables , mais en ém ‘ ;""J"!."".‘.Ub e LA DANSE encore agitée parmi les flots des mers primi ives attendait pour s'animer les rayons vivifia s d soleil. 11 me serait facile de multiplier de par ille explications 'y L.mhu cn SU } tems farouches et barbares. La cruauté éta t commune a tous les sexes , 4 toutes les coudit ons; le vengeances se perpétuaient dans les umi]]es; I force était le seul droit. I1 s'agissait don d'adoucir le coeur sans Iefféminer; de donne au corp toute sa beauté sans lui rien Oter de sa igueur de régler les passions sans les détruire; d maintenir 'ame, non dans une froide apathie mai dans ce noble repos, dans cette tranquilli é d'un jeunesse pleine de vie, qui n'a pas besoin 'exepcer ses forces pour que leur secret lui oit révélé L'Hercule grec était, dans I'idée de législateurs ce qu'il fut depuis sous le cisea du Statuaire, / |
