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Show LETTRE laire, on l p plus grave £ 5¢ (é\ébr&i ! yt)pr"\‘m'\t. d l', £ p‘ d{'"b"" e en esta v :‘k‘.i") ya qu un taires; elle étaient nombreuse che « Ensuite les OEeniens et les Magnctes paru et danserent la carpe » Voici l thém sou ,,. ordinaire de cette dans : u » homm Asl1 nOmy U » clier, et se met 4 semer et labourer; mais, a » milien de ce travail, il se retourne & chaqu s'avance, quitte la cuirasse et le bou i S S les armes yus 2 Jp un peupl tout guerrier. En voici une que je trouve dansu auteur également fameux comme général et comm historien » rent fois que le petulante T La premuiér 1que avaien I meriter yp exéecutalent Les deux subdivisions de la danse lyrique son lagymnopeédie etla pyrriigue. Toutes deux étaien principalement destinées i développer la force e Padresse. La premiére était comme le prélude d I'autre, et s'exécutait, surtout i Lacédémone, e I'honneur d'Apollon et de Bacchus. Les jeune gens y dansaient nus, et par leur marche figuré et les mouvemens cadencés de leurs pieds offraient I'image de la lutte et du pugilat. Sous l nom de pyrrhique, je comprends les danses mili an Jourdh dernie i A 'S d'imi tssin 0L pou vy Minerve et d'Apollon, une foule d'autres qu recevaient leurs noms, soit des divinités méme auxquelles elles étaient consacrées, soit des lieu ou elles florissaient, soit des danseurs qui le T ( orthographe bizarre et de leur baroque prononciation. Outre ces deux danses géncriques, on e cclébrait, en Phonneur des Dieux, et surtout d R | Chir 10 S e DANSE , \}Tiq? fii, L i ‘\Y urri 'er SU |