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Show 8 Patn W bienfy; Liapothio 4 Processio it@utg &gfp CCasion : de dazent a ce U peuple qu ¥ represenlflfllflrVu ,n'~/i;‘;¢e , pa fique repre . hout d beent, deva 15 Ja nature n e surnaturel e, divimse faire mourtr ;\pis n pte le ven '\:.m ceree yaien vatent devote ont demandel prt plu s d eqn grOVC x; x'. ma A LETTRE SUR LA DANSE 3 apothéose ; seulement ces danses funébres taien aussi lugubres que les premitres avaient c¢i gates. Ainsi les prétres se jouaient de la c édulit du plus superstitieux des peuples ; et la anse, l musique , Pappareil, tout ce qui parle ux yeu et frappe I'imagination , étaient le principa instrument du charlatanisme Il en était de méme chez les Ethiopien , le Babyloniens, les Indiens. Mais ce mot d Indien vous rappelle déja les plus charmantes dans use de Punivers. Vous avez mille fois entendu Je nom, mille fois reproduit leurs pas enchanteu s €t vous n'avez peut-éire jamais bien su ce qu c'était que les Badayeéres C'est au sein des grandes pagodes de I'Asie avec Por prodigué aux brames par 'aveugle dévotion des peuples, que se sont élevés ces eloitres de vierges sacrées , ou platét, comm di Raynal, « ces séminaires de volupté » : leu origine se perd dans les vieux ages. Vouées au cul des Dieux et aux plaisirs de leurs ministres, e er cées dés leur enfance i la musique , a la danse ala poésie, a tous les arts; révérées des peuples aux yeux de qui la licence est vertu, dés que l religion I'autorise, les Bayadéres ne quittaien jamais leur délicieuse demeure, que pour embellir les pompes religieuses, et ajouter au lux des fétes royales. Un musicien les accompagne |