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Show ANSE g el o, b |} Pewer ¢ 252 SOR( Plsi PORr tow)g s fois, Je Tagi fres, quel aye est dans lle les serre g leconnaitr venue; ell p ser L sont Les parole AE AVRC U0 P ry aie dans, ed voil nou \aqueu n. is¢. uill OI or ‘ ] P';i[[" d I elre . 44 ptomim 1 ,»"ér'"Pt‘J qu'un 6 i 16 a i'). LETTRES SUR LA DANSE 12 des Talma ; c'est elle qui a immortalisé Bath ll et Pilade Jaural occasion de vous parler quelque jou des efforts inutiles que nous avons faits pour n ter la danse comme on note la musique. Les anctens , plus heureux , étaient parvenus a noter e le geste, et I'espéce de danse appelée saltati n celle qui consistait a représenter la démarche, le atutudes, en un mot, tous les mouvemens don on accompagne les discours. Cet art de la sa tation:, qui est perdu, et dont on ne peut plus pa ler que par conjecture , fut porté i un si haut degré, quon crut pouvoir se passer entiéremen des paroles, et jouer toutes sortes de piece d théatre sans ouvrir la bouche. Diverses circonstances contribuérent 4 la création de ce nouvea genre d'imitation, que 'on appela pantomime. U nommé Livius Andronicus, Grec de naissance comme presque tous les acteurs de Rome , bo pocte d'ailleurs, excellent tragédien, ayant perd la voix par accident, prétendit exprimer par se gestes les idées qu'il animait auparavant de s diction. L'essai plut au peuple, il{futperfectionné et lamort d'Esopc et de Roscius, les Garrick et le Lekain du siécle d'Auguste, ayant laissé dans l déclamation théAtrale un vide qui ne put ja ai étre comblé, Pilade deCilicie et Bath ylle &' Al xan drie, deux homme non moins extraordinaires |
