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Show ANSE 25 ENTRETIENS SUR LA DANSE » croyez arriver jamais a une gaité plus franche » & une précision plus naturelle que celles qu » brillaient dans la danse de M!e Camargo. Mais peut-étre voudra-t-on récuser I'opinio de ces Messieurs, qui n'étaient que des littéra lpér'mrité & I pL*‘ d L ance, e g TOYODS ayjo FoIr danse 2, wne enpre Iy; une entre 16 dé paysan apnce par L eut porter plu bles de la dans d, 'abbe Dubo ses Reflexion teurs. Du moins on n'en dira pas autant de Noverre; celui-ci est un danseur-pratique. Eh bien il parle & peu prés comme les autres « Je conviendrai, dit-il, que I'exécution méca» nique de cetart est portée & un degre de perfec» tion qui ne laisse rien &.desirer. » 11 est vra qu'al'exemple de Cahuzac, il reconnait qu'il rest encore beaucoup a faire dans cette partie de l danse , qui dépend davantage de 'ame et de I'intelligence , dans la pantomime. Terminons ce citations par un pasasge de M. Blasis, dont le livr est tout moderne « L'art de la danse a été porté par Dauberval ge que, de so oint de p@{féz'Ea 1) pari Vestris et quelqu'autre grand artiste 1 dit ' ) 1‘",‘""(‘ LI"IJ" W N y un si haut degré de perfection qu'ellc a du sur» prendre Noverre lui-méme. Les artistes du siecl | Gardel passé sont inférieurs a ceux des derniéres année » de la mém époque et a tous ceu du com J » mencement de celui-ci. On ne peut s'empéche » d'admirer la rapidité des progrés qu'a faits l'ar » moderne. Nos danseurs possédent un gott plu » épuré; leur danse est remplie de gréices et d o N S jjltu e eJ flatt Hdw » charmes, qualités qui n'ont jamais existe che |
