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Show \ig 0mpg D , Chey W 1 fappe Ob er Telemuy de g ¢ Noverre 1pres ui, g ENTRETIEN 28 SUR LA DANSE milien. 1ls ne mirent point dans la pantomime l richesse et la magnificence qu'y jeta ensuite l second des Gardel; mais ils sont inimitables dan les tableaux de la nature villageoise. 1ls furen pour le ballet ce qu'étaient pour 'Opéra-Comique, encore enfant, les Duni, les Monsigny les Philidor , les Gréwry. Leurs successeurs , le Berton , les Boieldieu, les Cherubini, les Méhul en agrandissant le domaine du genre , ont quelquefois vainement tenté de retrouver la mélodi des premiers elle demojs. l] i ol domna quelnefite. La cho rogres jusqu' lonsienr vien en 1760. Max SorHIE v - J représente n m rappellc pa a I''Opér aucun avoli de jamai composi . qui pent p comme doubl nte maitre d tions de Dauberval composIfoL ar prEmier mé taient. Quoi qu'il en soit, vous auriez pu les voi HiracrLiTE. - Elle ont été bannies avec lu1 d théatre; je n'examinerai point si elles le méri autrefois assez joliment exécutées a la Port Saint-Martin. Aumer, dontnous venons de parler de ga ma l Fi l i Lu e et An y remi et quelques autres s s s demi r i [)esenteir age de V CIC s d 3 oeus 06 DimocrITE. - Mais savez-vous que ce théatr a eu un bien beau moment, lorsqu' Aumer ajoutait aux ballets de Dauberval les siens propres les Jeux d']j"gle' , Jenny, les Deux Creoles , e d'auires qui attiraien aux bhoulevards la meil |