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Show 1881 Elllfin[ un dufl V ey d lore A, ‘m ';s'm mi A 166 P tsu o Perl tuttgay Pry ues une fipegye L prolonge l'r"mpfire du ho el de n'en avor etde PauletVir msenr orner o eles, pourvu qu ar os Qames, J un air plus zauch t b u iefot 2 j u erajen es c l u et SO ot dans T oran i ot chaom d o5 (reDle mulipl pi ol ;P (E S( o _Y i duii@m mlut anp | , quol S0P ENTRETIEN SUR L DANSE 22 Sopnie. - Il est vrai que quand je vois deu ou trois danseuses pirouetter a la fois, je me rappelle ces derviches dont vous me parliez dans un de vos lettres, et qu'on aurait pris pour des parapluies ouverts tournant sur leurs manches HirAcriTE.- Exactement. Ne croyez pas a reste quel'absence des entrechats et des pirouette empéchait M" Sallé d'éire extrémement applaudie : elle alla deux fois i Londres; on se battit la porte du théatre pour la voir. On lui jetait su la scéne des bourses pleines d'or et des billets, e I'on prétend que le jour de sa représentation bénéfice, elle gagna plus de 200,000 francs DEMOCRITE. - 200,000 francs ! c'est beaucoup MM. les Anglais se sontbien corrigés d'un enthoustasme si expansit. Et puis tout cela ne prouverait encore rien enfaveur de M"¢ Sallé. On dansai st malalors que quelques pas un peu mieux dessinés fesaient crier au miracle; aujourd'hui, si 'o voulait faire justice 4 tout le monde, toutes le bourses d'Angleterre n'y sufliraient pas; le géni court les rues . sur, malgré tout cela, qu - Soi H#rAcrLiT nous ne sommes pas tellement supérieurs a no peres que nous n'ayons plus rien h apprendr d'eux; et, sans Noverre, le vrai restaurateur d la danse... 3 |