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Show MSE LETTRE s (e lem iumgfi 08} Qange rm\.xmem‘sp‘:u Nigs éou dun Climyt ru 2LOrILE des g i d'un Romap mes msensé lnt décla ¢'F qu vers, et ({U plein senat? san wtfm\ usement ‘11 o1 vk;n\l‘u"g‘i. 3 o Jowat\a oms }'A‘.'-;» ~\" "‘lr j SU L DANSE 7 ion, de Platon et d'}fpaminondas, sufli ent pou vous persuader qu'on peut, sans éire un sop iste célébrer 'utilité morale d'un art que tant de sa e ont honoré par I'étude quiils en ont faite, e le éloges qu'ils lui ont donnés » D'ou vientdonc, ditle Romain , qu'elle tellement dégénéré de sa premicre grandeur, et qu'e l n'est plus aujourd'hui que le partage de bal din ou de nobles qui se dégradent en les imitant Philosophe, ajouta-t-il en se tournant vers Potamon, vous nous expliquerez sans doute une auss étrange contradiction » Jeune homme, répondit Potamon ,lasoirée es déja bien avancée, et la question que vous m proposez plus vaste que vous ne le croyez peutétre. S1 cependant mon respectable ami Acesto dorn'est point tro p fatigué, je ticherai, sans embrasser tousles développemens qu'elle comporte g ' sadnion a A a (RAIZLY W eDSEIC DAV L, Platon 0107 wan ( UL 1 B " ..I"‘ 1 s on nDI o P4 (lu;uff* N ot 1 f f a 1Qyj 9 ja pov heauco v .?»dft 1ov vSOCTd mystérieuse des prétres d'Egypte, d'Orphée et d Dieu n'est que la merveilleuse har monie de la nature; 1l dirige I'éternel concer de il f'.l m J"[‘l'tj toutes deux adopter etencourager. Dans la langu Pythagore J‘"l'.- |"{" o ,:yt‘(‘l l} comme une institution salutaire, qu'elles devaien 5 ( de Péclaircir 1égérement. Acestodore ayant fai un signe approbatif, Potamon reprit : La relig o et la politique ont egalement regardé la dan spheres célestes, et ses lois agitent en cadenc toutes les forces de 'univers. Une danse dont le |