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Show ENTRETIEN Ko SU LA DANSE 2 gravité des danses sérieuses, qui étaient alor 'unique fond de ces pompeuses assemblées Parmi les bals publics de cette époque et de regnes suivans , il ne faut pas oublier ceux d [Hotel-de-Ville, qui sont d'une irés-ancienn Sag origine, et a la charge de la capitale. 1ls fon partie des réjouissances par lesquelles les Parisien célebrent les événemens heureux pour I'Ftat, l fee naissance des princes, leurs fétes, les victoire remportées sur 'ennemi, etc. Sous le régne d Napoléon, les bals de I''Hotel-de-Ville furen magnifiques; lui-méme y assistait assez régulicrement lorsqu'il se trouvait & Paris. La ville s'es toujours piquée d'un grand luxe dans ces occasions; quelquefois méme , elle n'a pas assez considéré que toutes ces magnificences cotitent u peu cher au peuple , qui finit toujours par e supporter les frais. On cite a ce propos un joli mo d'Henri 1V. Il s'agissait de donner un bal pou féter les ambassadeurs suisses ; mais il fallait d I'argent pour payer les violons. Pour faire fac aux dépenses, on demanda au roi la permissio i, oc ur. P sle ber des deu 1 } | atent tou O i fD- fi.‘aifi.t‘*} 15 ( s a o ( p:1 hh..\ jren c r ! de mettre un 1mpot sur les fontaines. Henri IV qui était gran ami des Suisses encore plus des Frangais répon mais qui I'étai au prévot de marchands et aux échevins : « Messieurs, poin » d'impots sur les fontaines; cherchez, pour ré » galer mes alliés, quelqu'autre moye qui n |