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Show 2 2% ‘)fl-\:' 'z ,‘,» SRSe SR SN IE SR e ENTRETIEN SU L DANSE e s, pour en revenira no - Ma Démocri moutons, car quand tu es sur Noverre, tu ne tari pas, il me semble extraordinaire que tous le beaux ballets que Monsieur trouve dans Quinaul n'aient pas été apercus pendant qu'il vivait, e que méme long-tems apres lui, il n'e fit pa question ; ¢'est pourtant ce qu'on m'a assure Moi. - Je l'avoue; mais cela tient 4 deux raisons. La musique lourde et trainante de ce tems ne se prétait nullement a la danse. Le petit Moliere et Lully avaient voulu donner un pen d s; s leu vivacité a celle de leurs prédécess maiu essais ne furent pas heureux. Rameau, qu'on ot 1 frapgas Jacque gf{ft‘if 5 it itPP 'Supp‘?"i" pgg de de [ope ment resé Jit seal spectacle a1l COMME s et 0 pOuaL salle occupée plus tard par la troupe Montansier, puis par le Variétés, et aujourd'hui par le Café de la Paix, un théitr élevé sous le nom de Petits Comediens DE BOIS de M* l comte de Beaujolais. Le directeur ayant obtenu de jouer, e outre de ses marionettes , des pantomimes avec des person ms Tt T nage 3= N G i - 21 wioans, imagina de représenter de petits opéras pa le méme moyen, c'est-a-dire par de doubles acteurs qui parlaient et chantaient dans les coulisses. L'illusion était si com plete, qu'il se fesait journellement des paris dans la salle que c'était de I'acteur en scéne que 'on entendait la voix. O y représenta des piéces qui eurent beaucoup de vogue; bie des personnes peuvent se rappeler [e Vieux Soldat, la Rus d'Amour, I'Heureux Deépit, la Noce Béarnaise , dont l musique était délicieuse. Ce théitre ne périt que par la faut de celui qui le dirigeait, et par suite de la liberté illimité dont jouirent bientdt les entrepreneurs de spectacles dansens Fetesde par Lul les duc marqui Lows X Beanch (_11;}11,%@3\11' Hera 1 Cllen (T8C dl |
