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Show ENTRETIEN U‘.li:ll‘:;il ( :1551‘1-\'[@15 (i SU L DANSE 10 tique de l'art , eussent été remplacés par quelqu bon trait¢ théorique sur le mécanisme de l danse, cerit par un. Dauberval , un Gardel, u Milon, ou par quelqu'autre grand maitre. J » voudrais, dit le sage Montaigne, que chacu » écrivit ce qu'il sait, et autant qu'il en sait. Sopmie. - Eh bien! qu'en dites-vous Moir. - Vou a dange p porte mes notes avez raison mon amie, jem et jamais je ne dirai mot de l danse a qui que ce soit \[. Blagis? j Sopmie. - Non , non, je ne vous en tiens pa quitte a st bon compte. Vous continuerez a parle de la page I dz.‘ ¢ OCT nite, de tré nt [_1);;15 e ..... e it E)\:k‘k de la danse, et sexlement, vous voudrez bien de plus, apprendre & danser Moi. - Je prends un maitre demain : sommesnous d'accord Sopnie. - Parfaitement : reprenons maintenant Phistoire du grand ballet. Dans votre der nicre lettre , il allait passer d'Tialie en France. C fut, je crois, sous le régne de Louis XIV qu'il fut introduit Moi. - D'ou savez-vous cela Sopmie. M. Blasis J l'ai lu ce m semble , dan Moi. - « Je voudrais, dit le sage Montaigne »-que chacun écrivit ce qu'il sait, et autant qu'il |