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Show 4id LA T E S T E life la met fur la tite, fele've & vient fur'•/<£. devant du Theatre fi faire voir. ' Quel drole d'air cela m e donne! Je rcf-femble a une Coquefigrue. M a foi, le tout bien con fidere', j'en reviendrai .a la premiere // retourne a fa Toilette,. & examine tout ce qu'il y a defjus. Qu'eft-ce que c'eft que tout <2.eci? * Une Crevee, un Solitaire, une Folette, des Maris, une Bagnolette. Si j'etois fur qu'il ne vint point cle Petits-Maitres m e voir, je pourrois m e fervir de tout cela; mais Parbleu,, tout coup vaille, mcttons-nous a la mode. life met tons ces ajuftemens. Allons, ma Juppe a preTent. La Voici* Diable! deft une Criardel Mais n'eft-cc point plut6t un Gaillard? N o n , m a foi, c'dt un vrai Panier. II met ce Panier qui eft a'ane hrgeur onirie.. Male pefte! quel contour! Et en mettant la Juppe. Je fuis.aufli large par le bas que % Geor* jre d'Amboife. *'•• Ajufiemens de mode. $ Groffe cloche de Rouen, N O I R E. 4<7 Ilfahphfieurs\xvm en achevant de s ha', lir Ah! voustvez bon air, Bon air vous avez! %jm in S C E N E V11. ARLEaUIN,Mr.JEROSMF. Mr. JEROSME, na.it. Ha, ha, ha, ha, ha! Quel minois! ARLEQUIN, minaudaxt comme une Coquette. Monfieur Jerome*, de grace ne me flatez point. Comment m e trouvez-vous > Mr. J E R O S M E. A mervciiles. Tu es un vrai remeded'a-mour. ARLEQUIN. C'eft ce qu'il me femble. Jc fco's pre*- fentement la nique a un dpouvantail de chene vi ere. S S Mr. |
