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Show •4&& LA T E S TE ARLEQUIN, a Me. Candi. En verite', ma Tante, j'ai honte;de pa-roitre devant vous dans l'ctat ou m'a mife imc longue navigation. {I'embraffant) Per-mettez- moi de vous acolcr. . Me. C A N D I , s'effuyant le vifage*. Pouas! • 1 ARLEQUIN, ajavotte. Venez, ma chcre Coufine^ que je vous embraffc. JAVOTTE,./£ retkant derriire fa Mere. Oh! non. Je ne veux pas vous baifer. ARLEQUIN, a Chariot. Et vous, mon petit Coufin? CHARLOT,/^. \Tous etes trop laide, Alfez, jc vouycn quite. A R L E Q U I N , de clamant, fur le ton d'un Herot de Theatre, ces Versparodiez de Pbe-dre & Hypo lite. Que rois-je! Quelle horreur dans ces lieux r^pandue, Fait faire a me* Parens la yunacgimavuc'c Je ^ O I R E. 4*7 Je n'ai pour tout acucil que des fremiiTemcns! Tout fuit, tout fe refufe a mes embralTcmens! Et moi-mcme, eprouvantlaterreurquej'inf-pire, Jc voudroisecrecncor dans m o n frelcNavire. % Mr. JEROSME, a Arlequin. Ma Niece, vous ne dcVcz-point trouver cctacueil etr.angc; les traits & la noirccur de votre vifage.... ARLEQUI N. II eft vrai que je fuis enablement halce. Me. C A N D I. Oui."' C'eft''.n ha'e que vous avez apporte* du ventrede la Mcic. ARLEQUI N. He*, ventrcblcu! Madame Candi, eft-cc mafaute, a moi? MachiennedeMdreavoit tofijours a fes troulfes une douzainc de N e - grcs. Me, CANDI.: Gomme elle park! ARLE: |