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Show • • • • • • • • l H© A R L E Q U I N , CASCARET. Gardez prdcieufement cette queue que vous avez entre Jes mains. ARLEQUIN. D'ou vient ? CASCARET. C'eft qu'elle a une vertu qui vous ferad*i> ne grande utilite. ARLEQUIN. Quelle vertu ? CASCARET, la tirant & I'alloxgeant. En la tifsHit' ainfi, ceux devant qui vous ferez diront, fans qu'ils s'en appereoivent, tout ce qu'ils penfent. ARLEQUIN. Cela fe peut-il ? .CASCARET. ^ Soyez-en perfuade*. Vousconnoitrez.par-la vos amis & vos ennemis. Puis-je YOUS faire un plus rare preTent? ARLEQUIN. N o n , parbleu. Et je vous en rens mille graces. CASCARET. Adieu. Je brule d'impatience de revoir m a Maitreife, 6c demevenger demon Rival. AR-ROJ DES OGRES. r8i ARLEQUIN. Bon voyage, Seigneur Cafcaret. _ S C E N E III. A R L E CLU I N ,feul. Je ne puis revenir de m a furprife. Quand jTaiarrache la queue a ce Dr6le-la , je ne croyois pas lui rendre un fi grand fervice. Je , fuis curieux d'dprouver ft elle eft auffi mer-veilleufe qu'il m e l'a dir. Bon, Scaramou-ch'e m o n confrere vient icifort apropos pour cela. k S C E N E IV. ARLEQUIN, SCARAMOUCHE. SCARAMOUCHE. Allegrezza, Arliquino! Allegrezza! ARLEQUIN. Qu'y a-M'l done ? SCARAMOUCHE. Apres la pluyc le beau terns. Te voila re* mis en grace , m o n enfant. Le Roi te fait chercher par tout, pour te dire qu'il te par-donne le pafTe\ H F ARLEQUIN, allongeant la queue du Singe. Cela te fait-il plaifir? H 7 SCA- |