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Show jo6 LE D I A B L E v Me. GRAPILLON. . Quelle joye! L A F O L IE. Faites en un ufagc-diguc.de celle qui vous ladonne. Me. GRAPILLON. Oh! laiffez-moi faire. Ayez foin feule-irent de remplir fon coffre, je me.chargede le vuider. L E DIABLE: Je m'intereiTe pour les Ciercs, moi. Sou-gez a les rengraiifer. Me. GRAPILLON. Je n'y manquerai pas. Elle fait une reverence, & s'en va. «.' m • I.OI » S C E N E V. LE DIABLE, LA FOLIE; LE C H E V A L I E R DE GRL': LAC, Gafcon. LE CHEVALIER. Par la fandis, Monfu le Diable d'Ar-gent, v D ' A R G E N T . 107 gent, vous avez tort de vous &re brouilld avec les Enfans de la Garounne. Certes, vous n'avez point de fujets au reile dumon-de qui vous faflcnt plus d'honnur & de profit. L E D T A B L E. Et de profit* .•> L A FOLIE, au Diable. II va vous le prouver. LE CHEVALIER. Oui, diou-mc-damne, je Iej>rouverai. Premierement, tout Cadet de Gfflcougnc a le talent de vous multiplier. LE DIABLE. Comment cela? LE CHEVALIER. Que je tire de vous, par dxemple , une foumme de cix mille francs , fur le champ je vous ajouteunzero, crac; &jemedonn-ne pour un Gentilhomme de cent mille li-vres. LA FOLIE, au Diable. > Je vous 1'ai bien dit. E 6 LE |