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Show f$> A k L E Q U I N, haut. Vous vous adrefTez mal, m a pauvre Mi-nette. Le Chat flaire Arlequin , qui le flate en lui paffant la main fur la tete &j'urledos. La Bete dreffe fa queue* comme font les Chats enpareiU le occafion. Elle fait enfuite quelques cabrioles qu'Arlequin imiie. Apres 'quoi ils grimpem tous deux far un grand arbre , ou ils font plujieurs tours de paffe-paftl'. «!»•«!• •! 1.1 - . „•••« -,.,-.,- - . . . I - • " - W. ' ' "• *** " ' ' Jt ' '-^. SCEN E III. ARLEQUIN, LE CHAT, ADARIO, SASTARETSI, OGRES armex de fuftls, ADA RIO, ddemi-voix. • Le Chat fauvage que nous pourfuivons doit toe ici. LE'CHAT. * Miaou, miaou. SASTARETSI,^/. Jc l'entens. A D A R I O. En voila deux. Tire fur celui qui eft 1c glers clevx, moije vais tuer l'autre. Let R:Ol D E S O G R ES. J3I Les deuxOgrescouchent enpuePunleChat* CT rautre Arlequin. A R L E QU. IN, les appercevant:. Attendee, attjendez.^e tirez point. SASTARETSI. Quel prodige! Des Chats qui parlent! A D A R I O. - * • N e tirons pas. w. » Arlequin defcend de I'arbre, & vient careffer let Ogres. Le Chat faute a terre tfjefauve. S C E N E IV. 'ARLEQUIN, ADARIO. SASTARETSI. ADARIO. _ L'aimable Bete! Elle eft route apprivoifee. SASTARETSI. Parbleu, voila un joli animal ! ARLEQUIN,/, dreffant fur fes jambes. • Animal vous-meme. Aprenez que je ne ims Chat que par benefice d'inveotaire. F <* ADA- |