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Show X% LA S T A T U E , ARLEQUIN. Voila le commencement du branle. LE ROI, AiR 70. (Bouchez, Nayades, tosfontaines) Quefais-tu, dit-il, furlaTerre? Quoi, pendant qu'une affreufe guerre De'fole tes triftes Etats, T o n cceur aux plaifirs s'abandonnef Ldve-toi. Cherche les Combats. Rens-toi digne de ta Couronne. ARLEQUIN. Nous avons aufll-t6t quittd la moleflfc. L E R O I. AiR 14. ( Voulez - vous Javoir qui des deux ) Ce fonge a produit fon effet. Vous avez fid ce que j'ai fait. Apres trois fanglantes batailles^ Je vois mes Ennemis ddfaits. ARLEQUIN. Nous aborts redu it ces Canailles , \ A veiiir demander la Paix. LE * •» ' 1 • » « » » » « • MERVEILLEUSE. B L E ROI. AIR 117- (jfe nt veuxpoint trottbler votre igno~ ranee ) D e terns en terns j'ai revu le Phant6mc D e ce Vieillard, qui m'a toujourspredit Que je rendroislecalme a m o n RoyaumC-. E n dernier lieu voici ce qu'il m'a dit: ARLEQUIN. Cell de quoi il s'agit. L E ROI. AiR 72.. (Le demon malicieux & fin) CherZcyn, adieu. Je te promcts U n Trdfor qu'enferme ton Palais. D e l'endroit qui cache ces Richeffes C'eft Mobarec qui te garde la eld, Rdpondez, Vizir. Dans ces promcfl'es Se trouve-t-ii quelque rdalite ? MOBAREC. AIR j- ( Quand le fe'ril eft agr cable ) Par de frivoles reVeries, Seigneur, vous n'ltes point decju. L e Vieillard que vous avez vu Eft le Roi des Gdnies. AR- |