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Show iSo A R L E Q U I N, par lcur moyen, ce Geant, qui eft doue d'u ne force extraordinaire , nous apporte tou tes les chofes dont nous avons befoin. ARLEQUIN. Rien n'eft plus commode. ADARIO. Tenez. Le voila deja de retour.. S C E N E XL A R L E QJJ I N , A D A R I O, Troupe d'OGRES , PltRROT , le P O U R V O Y E U R, unejeunc FRANCHISE. LE POURVOYEUR, amehant la jettne Franpije. Chair fraiche,. Chair fraiche! ARLEQUIN. Ha, ha! Pcfte! quel Voyageur! Mais que m'apportes-tu-la? LE POURVOYEUR. C'eft une jeune fille que je viens dc prendre a Paris, AR-ROI DES OGRES. #* ARLEQUIN. Elle eft, mafoi, toute mignonne. Tuns commence par le moins preife , m o n ami; mais n importe. Avancez, m a Poulcttc. LA FRANCtOl"sE,^r^. Ah, ah, ah! ARLEQUIN. Ne pleurei pasf ma Petite. Je ne fuis pas ft diable que je fuis noir. LA FRANCHISE. Ma ch<fre Mere! ARLEQUIN. Taifez-vous, mon Trognon; vous la re verrez bicmtot. En attendant, noirs vous ferons bonne chdre , nous vous donnerons des bonbons. PIERROT. H<Sbien, Seigneur, voulcz-vous qu'on vous l'habille tout a l'heure? ARLEQUIN. Hd, n'eft-ellepas habillee, Bcnet? G4 |