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Show in LE D I A B LE L E DIABLE. II faut favoir des chofes plus folides pour m'avoir. MHe. F R E T I L L O N. v Quoi, par e*xemplc? L A F O L I E. Chanter, jouer de quelque inftrument. Mile. F R E T I L L O N. Pour la Mufique, je ne m'y fuis point appliqude; mais je iais danfer. L E D I A B L E. , Vous favez danfer! Mile. F R E T I L L O H Paffablement. L E DIABLE. Oh ? vous danfez! II n'en faut pas davan-tage. Allez m'attendre a l'Opera. Mile. Fretillon le remercie par une profonde reverence, & fe retire. SCE-D' A R G E N T. **3- S C E N E VII. LE D I A B L E , LA FOLIE; PINTE-BROC, Suiflc. L A F O L I E. Voyons ce que nous veut ce Suiifeu P I N T E - B R O C , au Diable.- GrofferGcld Tcuffel, pourquoi toi n'y plus venir dans le poche del' pauvre diable dePin-te- broc ?. Depuis que j'avre quittc fti gro$ Financier que le Chambre de Juftice l'avrc fait rendrc gorge, moi point rcvoir toi-'dfc-tout I L E DIABLE, O i fers-tu done preTentemcm r" PINTE-BROC. Che! garde Je porte d'ein vicillc D a m e de Marquiffe, on moi point gagner par chou* por poire chopine & fumer ein pipe. L E D I A B L E. Je ne m'en e'tonne plus. Va. Place-toi chez une jeune Coquette, & j'irai t'y voir. PINfe |