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Show tf LA S T A T UE Que ne dcvons-nous point attendee Desleconsdccethoinme-lar' ARLEQUIN. AiR * *& i7&^ ll *** ® U jW) II eft vrai que loin de la Cour II la retient depuis l'enfance. L a folitude eft un fejour Propre a conferver l'innocence: Mais la Belle a du moins vingt ans.; 4 C'eft aux ddfirs que je fattens, Que je fattens, Que je fattens, Cell aux ddfirs que je fattens. PIERROT. Nous allons voir cela. La voici. S C E N E II. LE ROI, ARLEQUIN, PIERROT, ^MOBAREC, RE'ZIA, AMINE. MOBAREC. A i R no. (Je vous avois cru belle) Vous demandie?. m a Fille, Vous lavoycz, Seigneur. MER VEILLEUSE. ft Puiffe-t-elle ctrc aftcz fagc c\ gentille, Pour faire des ce jour votre bonheur. L E R O I. AiR 68. (Ne m'entendez-vonspas) L'ceil humain peut-il voir Bcaute plus raviifante? AMINE. Elle eft toute innocente. PIERROT. Gh! c'eft un a favoir. ARLEQUIN. J'en croiral le Miroir. MOBAREC, ffiflle, A i R y. {Qifmdlepiriltft agriabk) Rdzia, votre Roi fouhaite Qu'eu ce Miroir miftcrieux Vous vous regardiet, tile regarde dans le Miroir, & lagkceftw Jerve pure. LE ROI. A h ! grands Dienx! La glace eft pure & nette! D 3 AR. |