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Show m A R L E Q U I N , LE POURVOYEUR-Je n'y manquerai pas. A R L E Q U I N . Un moment, un moment. Tuirasen-fuite i la Halle au Vin. T u te chargetaj d'un bon muid dc Bourgogne. LE-POURYQYEUR. Cela vaut nit. 8 A R L E Q U I N . Ce n'eft pas tout. Que diable , vous tog bien vif !; T u te rendras de-la a 1 Opera, & tu v prendras.trois Danfeurs, & trois Dan-feufes C'eft pour commencer a etabhr ici Fhumanite. Marche a cette heure , marche. . S C E N E XXI. ARLEQUIN, SCARAMOU-CHEriesGRIVOIS, laCIR-CASSIENNE, OGRES & OGRESSES. SCARAMOUCHE. Morbleu! m o n cher, que vous favcz bien commander. A R L E Q U I N . ^ C'eft que cela eft bien plus aife que <J'o-ww SCA. ROI DES OGRES. tft SCARAMOUCHE. Si notre Courier n'eft pas plus long-term a ce voyage-ci, qu'a Pautre, nous ferons bien-tOtt a table. ARLEQUIN. Vous pouvez compter la-deffus. AinfiV qu'on mette promptement le couvert. J'ai grand befoin de remonter m a pendule. SCARAMOUCHE. i Et moi de m£me. A R L E Q U I N , mlaCircaftienne. He* bien , petite Carcaifienne , ne ferefc-vous pas plus aife d'etre a moi qu'a ces vi* lains Maraboux de Sultans ? LA CIRCASSIENNE. Sans doute. ARLEQUIN. Vous m'aimcrez done bien? LA CIRCASSIENiNE. D c tout m o n cceur. ARLEQUIN. La , careffefc-moi un peu. ( Elle lui paffe la main fous le menton.) ( Arlequin fait fis laz* is, £jf dit:) La petite Chate ! Elle eft deja anffi H z ap- |