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Show *So LA F O R E ST I. C H E S N E. Taifez-vous. ' LE JEUNE CHESNE. A i R 40. (Petit Boudrillon. ) D'ou vient cette humeur vaine? II. CHESNE. Taifez-vous, vous dit-on, Boudrillon. Vous tranches, du grand Chene; Rabaiifez votre ton, Boudrillon, Petit Boudrillon, Boudrillon, dondaine, Petit Boudrillon, Boudrillon, dondon. LE JEUNE CHESNE. Oh! Sije ne fuis pas encore recti Oracle^ je fuis du bois dont on les fait. Ea CHESN E:1 • Vous raifonnez c o m m e un Sapin." II Taut que vous ayez etc ente fur quelque Marc* toier d'Inde. LE JEUNE CHESNE. Oui da, je raifonne , & tout auUi-bicn qu'un homme. 1. D E D-ODOSNE. & I. CHESN Ei Le bele'loge ! Un. Arbre fe piquer de rai- Ibriner. c o m m e les homm;es , gui jraifonnen^ c o m m e des but lies. T/" - • II. C H E S N E. Ce petit Drole-la s'ingere quelque-fois de rendre des oracles, oui. I. CHESNE. - • Cc font des oracles bien fagotez. LE JEUNE CHESNE. Qu'ai-je done dit de fi impertinent ? II. CHESNE. Vous avez confeille, par exemple,acettc jeune filte d'e'poufcr l'Agiotcnr quilarecher-choit, Pafiurant qu'elle feroit une bonne affaire; elle vous a cru, & elle n'a pasdepain a prefent, , - LE JEUNE CHESNE. * 1 fete ,n'avievvous pas dit,vous:riieme,quel-ques jours auparavant a cet Agioteur , qui tW VrQUs conftitier fur fon dejjfarri ( l\Smm<k fcoi detr^s-graBdesiicheffe^ -„.. 1 |