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Show 468 L A T E S TE Me. CANDI. Lailfez-moi, je vous prie, mettre en pieces ce Membre pourri de la famille... \Jne Vieille! ( Mr. Jerome s'enfuit.) S C E N E XXXII, Me. C A N D I, CL1TAN DRE, A R G E N T I N E , ARLEQUIN, M A R I N E T T E, ARGENTINE, courant embraffer Me. Candi. Ma chdre Tante ! qu'allois-jc devenir, fi le Ciel, par votre rnoyen, n'efit fait e'chouer 1c projet d'un Oncle barbare? Me. CANDI. Ah ! ma Niece , banilTons-le de notre memoire. Livrons-nous a la joye de nous voir. ARGENTINE. Je vais retrouver en vous la Me*re que j'ai perdue. Me. N O I R E# Me. CANDI. 469 Et vous, ma Fille ^ . , »j«iiiic, vous trouverr-7 ;* crois, dans ce Cavalier unMuiH;! 1 ' JC tre leadrcife. . Mandigiiedevo- CLITANDRE. Aimable Argentine, ne vous revoke* vous pas contre le deffein d'une TantetroD prevenue en m a faveur ? trop ARGENTINE. Monfieur , je fuis prete a lui obeir. Me. CANDI. Que route la famille s'affemble & fe 1*. jouilfe de l'heureufe arrivee d'Argentine. CLITANDRE, embraffiant Arlequin. Ah! mon cher Arlequin , que je t'ai d'o-bhgation! Je m e fouviendrai route m a vied* ce que tu as fair pour moi. ARLEQUIN, d'un air fioid. Je dirai cela a mon Boulanger. CLITANDRE. Jet'entens. Va, mon ami, il v a Dour toi mille piitolcs. ' 7 ?olTr AR. |