OCR Text |
Show 316 LA F O R E S T COLIN Lai(fe-la ft'homme , Guillot. Vois-tup& feian qu'il n'y a point de raifon a li. GUILLOT. Nennin, nennin. Morgue*, ii me porte bian la mcine d'etre un des Fripons qui avont fait le coup. ARLEQUIN. Meflieurs, il ne s'agit pas de 9a. Je fuis honne'te-homme, & 9a ne fe fait point, en-tendez- vous? G RO S J E AN, aux Chines, otmtfoneh+ peau. MefTieurs les Abres , baillez-nous, s'il vous plait, v6tre mot li-deffus. I. CHESNE. C'eft undesRavilfeursde la jeune Epouffe ARLEQUIN, s'aprochant du Chine. Vous en avez menti. L E CHESNE, lui donnant unfoufiletf* ne de fes branches. Tien, de ton dementi recoi le chaiiment. ARLE* D E D O D O S N E. 3I7 ARLEQUIN. Mifericorde! Un Arbre qui parle, h qui donne des loufflets! GUILLOT. Ha, ha! C'eft donctoi! COLIN. Cta, te via attrapc*. Tu nous rendras Colinette tout c o m m e alle dtoit quand tu l'as prife, ou bien je f allons bout re en prifon. ARLEQUIN. Ah, maudit Arbre! Ah, chien d'Atbre! Fuiks-tu diffJque* en coterets. SCENE XX. & DERNIERE. LES CHESNES, ARLEQUIN, COLIN, GROS-JEAN, GUILLOT, SCARAMOUCHE, COLINETT E , G a l o n s 6c Fillcs dc la nocc. UN GARC.ON. Tlan, Colin , via t'n Eooufdc. J'avons attrapd ce Coquin-ll qui "s'enfuyoit. ( m,n-tram icsrammbe qui frit U rivere,.c: ) Jc O 3 l'a. |