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Show 430 LA T E S TE SCENE XIV. Me. CAN D I. Ah! monFrere,lavilaineBete! Mr. JEROSME. C'eft l'opprobre de la-famille. II faut en-fermer cela au pmt&t daus unCloitrepourle • rede defcs. jours. Me. CANDI. Non , non. On ne gardera point dans un Couvent une fille dececaraftere-la, qui feroit capable de corrompre les autres , k de nous deshcnorer par quelque aft.on d eclat. Et d'ailleurs, nous aurions fur la confeience tout le mal.... Mt. JEROSME. U.6! qu'en ferons-nous done? Me. CANDI. Marions-la au premier venu. Car ilnctaut a^j&'^aRflBK N O I'R E. 43* plus penfer au Gentilhomme que je voulois lui donner. * M: "J E RO S ME.' I Mais qui'diable en voudra? • - ' Me. C A N D I. Je vais envoyer ici tous les hommes que je rencontrerai. Il y aura bien du malheur, s'il ne s'en trouve pas quelqu'un que cent mille livres puiffent tenter. Mr. JEROSME. Mais, -ma Sceur, quel projet.... Me. CANDI. - Je le veux. Mr. JEROSME. Songez-vous au ridicule que..... Me. C A N D I. Paroles perdues. Vous favez que quand j'ai envie de faire quelque chofe, jc n'ende-mors jamais. {Elle fort avec fes Enfans.) SCE- |