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Show *oo L A B 0 I T E OLIVETTE. Oh! j'y confens de tout mon cceur, fi ma M £ r e le veu*. MIRA. *Si je le veux ? Belle demartde I CORIDON. Def ichons-notas done de nous niarier, MERCURE. C'eft par ou 11 faut commences Vous ferez batir enfuite un fuperbe Chateau fur une Eminence, avec un gros Village au bas. CORIDON. C'eft bian dit. MERCUR E. Je me charge de ce foin-la, moi, CORIDON. Vous m e feraisyplaifir. MERCUR E. Pour voiis former une belle Terre Sei-gneuriale, il faudroit vous emparerd1une rite etendue de pais. D E P A N D O R E . 35>t CORIDON. Eon! Rien n'eft fi aife. Qui peut irfcri empecher. J'ai la force en main. , MERCURE. Point de violence, quand'on peutprendre un moyen plus honn^te. Vous if avez qu'a e*tablir de certains Orficiers qui vous mcttent jurliiquement en polleilionde toutes les Ter-res que vous voudrez fouffler a vos voifins. CORIDON. Mars ou trouverai-jeccs Orlicicrs? MERCURE. Jc vous les ferai venirdu Maine &de Nor-mandie, ou la Chicane eft allege s'^tublir au fortir de la Boite de Pandore. C O R I DON. Vous me paroiffez entendu, I'Ami. Je rous bailie la commilTion d'arranger toutea. MERCURE. Soit. Je veux bien etre votre Intendant. J'ai toutes les qualitez qu'il taut pour cela. Je prdvois que je vous rendrai bien des R 4 fer- |