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Show 334 L A B O I TE UN PAISAN, a Siline,luifalfam volerfon chape au. Vous perdezlerefpea, vieuxPenard. O-tez votre chapeau, quand vous parlez a votre Seigneur & Maitre. -* SILENE. Nous n'avons point de Maitre. M I R A. Nous fommes des Laboureurs comme Co* ridon. C O R ID O N. Je ne m'appelleplusCoridon, jemenom-m e Monfieur de la Coridonnidre. OLIVETTE. He! pourquoi avoir allonge' votre nom? OORIDON, Alin de vous bailler plus, de confideration pour m a parfonne. Je veux devenir Signeur de ce Pais-ci. M I R A . Cela n'eft pas jufte. C0RIDON. Qui vous l'a dit ? Je me fens un courage D E P A N D O R E . 3t% dc Irion; je ne doute pas, moi, que quelque Diai ncfoit m o n Pe're. SILENE. Quelle idde chimeriquc! Un PaVfan. .; ; CORIDON. Taifez-vous, vieux Manant. C'eft a vons tout le premier a m'obeir. SILENE. Je n 'en fcrairieu. MIRA. "Ni moi non plus. CORIDON. Je fauraibien vous y contr.iindre. J'ai deja tue trois Labourcurs qui n-'ont pas voulu fc foumettre a moi. SILENE. J'aime mieux la mort que la dependance.* CORIDON, a fis gens. HeMbien, foit. Emans, qu'on mYmpoi-gne ces RcvQltez-la\ Let Patfans de. lafuiu de Coridonfi mettentin devoir d'exe1 cuter fes crdres. Tome IV R Mu |