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Show ?.* P R O L O G U E. L E MARQUIS. He\' pourquoi, Madame > Ilsdevicndront rneilleurs de jour en jour, ou 1-habitude de les voir vous rendra moins difficile. Croyez-moi, vous vous conlolerez facilemeut dene les plus entendre chanter. LA fc.O.MT E.S S E. Non, Marquis, non, je ne m'en confo-lerai point. Quand ils parlercient comme les Comediens Francois, ils m'ennuyeroient. Avouez que les Pieces en Vaudevilles ont quelque ehofe de bien piquant. LE M A.R Q U IS. J'en demeure d'accord. L A COMTES S E. •,,.." On retient un Vaudeville: On le chantc en s'en retournant: II rend l'efprit gai. Elle chante, AIR 17. ( Lahderiri.) Oui, j'aime mon Garde-Moulin; .-Ce Garcon va fon droit chemin, Landerirette ; II ne prend point de mauvais pli, Landeriri. On P R O L O G U E . ite) On emporte cela. L E MARQUIS. ;je convicns que ces fortes de Pieces ont leur merite, qu'un air du*Pont-neuf bien applique* nous reveille & nous rejoui't; mais la Profe, Madame, la Profe a des faillies bril-lantes qui font le m e m e cffet. LA COMTESSE. Ah! fl, Marquis! Ah, fi! Rien n'eftplus tade , rien n'eft plus infipide que votre Profe. Je m'en rapporte au Chevalier de la Po liffonnidre que je vois. Voulez-vous que nous le prenions pour arbitre? L E M A R Q U I S. J'y conf ens, parbleu, j'y confens. ' LA COMTESSE. Je fuis fure qu'il fera de mon fcntiment K * SCE- |