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Show *T» A R L E Q U I N, SCENE XIX. & DERNIERE; LE ROI, LE PRINCE, ZULIMA, ARLEQUIN. L E R O I , au Prince. Venez, m o n Fils. Embraftez-moi. Je fuis mortifle du mauvais traitement que je vous ai fait; mais vous ferez vengd de vos Ennemis* LE PRINCE, AZ*lim. Madame, jefais les obligations queje vous ai. Comptez fur une dternelle reconnoit fance. 2 U L I M A. La vertu a toujours intereffd Zulima, A R L E Q U I N , tirant le Roi a quartier, • Seigneur, rendez-moi m a queue. L E ROI. Non. Elle m'eft neceffaire pour demeler mes fldeles fujets. Je te defends m e m e d'en dire la vertu a perfonne. AR: ROI DES OGRES, zn A R L E Q U I N . raiStbuVemah "e.Ia Perde* P*s; car j'en au- ™ f bV°m poar Parer Ies botes fe-crcttes que m e porteront vos Courtifans, * L E ROI. Je la garderai foigneufement. A R L E Q U I N . . Ah! R tous les Souvcrains avoient une fen* mable queue, quails maiiierolentbienleeou-v «nail dc leur Empire ! Qu'ils eVitcroW «! ecueili avec une pareille bouflble! L E ROI, . Que toute m a Cour premie part a ma joye. A R L E Q U I N . ,mfcCC!SS '?» Conrt''rans! Allons, mes amis, cdlebronscetheureuxjour. ( // arrive plufieurs perfonnes qui ferment des danfis.) F 1. N. PRO |