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Show j?a A R L E Q U I N, ( // allonge la queue.) LOURET. Mafoi, fans maMufique, fonPoemefe-roit bailler toute la Cour. Je n'ai jamais vfl de ft pitoyables Vers. ARLEQUIN, aRatancour. Que dites-vous a cela, M. Ratancour ? RATANCOUR-Je dis que M . Louret eft un fat. LOURET,/> refroignant. Plait-il? RATANCOUR. Vous e'tcs un plaifant Violon pour juger de mes Vers. Savez-vous bien que votre Mufique poliifonne n'eft que de la creme fouettee? Une Mufette, un Cotillon, une Ariette, voila le fondement de votre vanite, A R L E Q U I N , riant de toutes fes forces. Ha, ha, ha, ha! LOURET. Talfer-vous, Extravagant. Refpe&ez le gout general. RATANCOUR, le frappant. Tien, voila le rcfpeft queje lui porte, & a toi auili. LOU-ROI D E S OGRES. i$>$ LOURET. Quelle infolence! (Ils fe battent a coups defied^ & depoing , enfi retirant. ) ARLEQUIN, riant. Ha, ha, ha! Me voila bien yenge. S C E N E XII. ARLEQUIN, fettl. Les jolis Garcons! Nous en verrons bien d'autres. Mais quelle beaute fe preTente a ma viae. Eh! c'eft mon adorable Zaide! ^ - i S C E N E XIII. ARLEQUIN, ZAIDE. ZAIDE. . Je ne puis contenir ma joye ! Mon cher Arlequin! T u m'es'donc enfin rendu. Tome IV. I A R- |