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Show f LA S T A T UE S C E N E VIII. LE ROLMOBAREC, ARLEQUIN, PIERROT, RE'ZIA, FEV RIDON. ARLEQUIN. ' Oui, morbleu, c'eft elle-meme, P I E R R O T , auRoi. Tenez. Regarded, regarded. LE ROI, A I R 16. (La CetMture) JufteCiel! eft-ce Rc'ziaf Eft-ec elle qui s'oftie a m a vfie? FE'RIDO N. Oui, mon cher Enfant, la voila: C'eft la merveilleufe Statue. , PIERROT, dFe'ridoM. t Ah! lemalicieux! L E ROI, courant a Rizia. AiR 69. (Vautre nuitfaperfUs enfonge) On vous rend done a ma teudceffe, M E R V E I L L E U S E . 91 Charmant Objet de mes defirs! Que d'heureax jours, que de plaifirs, Vont fucceder a m a trifteife I a Feridon, lui baifant la main. Genereux Feridon, je vois Maintenant ce que je vous dois. PIERROT, au Roi, A1R 24. ( Les fille>s de Nanterre ) A prdfent il vous Ikhe La bride fur le cou. ARLEQUIN. Sans craindre qu'il fe fSchc, Aimez tout votre fou. FFRIDO N-AiR 3. (Baniftbns d'ici I'humeurnoirey Je vous promets mon afiifLncc, Vive& contens, heureux Epoux. D'une parfaite intelligence Go^tez les plaifirs les plus doux. (life retire.) SCE- |