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Show H LA S T A T UE A R L E Q U I N , trembkint. A W , ahi, ahi! M O B A R E C , apres avoir rhi. •AIR 43- (Foliesd'Efpagne) Mais attendez. Quand m e m e le Genie Plein ^c fureur s'offriroit devant nous, Je m e fouviens d'une cdrdmonie, Qui nous pdiirr&pretfcrver de fcscoujps, A R L E Q U I N. A la bonne henre. M O B A R E C . A I R id. (Joconde) D'un Cercle ici je vais tracer La ronde quadrature. Nous n'aurons qu'a nous y placer. ' A R L E Q U I N. La place eft-elle fare ? M O B A R E C . J'en rdpons. O n ne rifque rien, A moins que T o n n'en forte. A R L E Q U I N . Pour moi, 11 j'en fors, je veux bien Que le Diable m'emporte. M0: M E R V E I L L E U S E . »f MOBAREC. Faifons la conjuration* // trace fur la terrc avec de la craye un grand Cercle, dans lequel H fe met avec le Roi & Ar-lequin. Ilfaitenfuite des contorfions de Cabalifie C55 marmotte quelques mots extraor din aires. Auf-fi- tot la terre tremble, on entend'ungrand hur-lement t on voit des /clairs qui font fuivis d'uy terrible coup de Tonne'rre. ARLEQUIN, faift de frayeur. HoVmel A I R 74. (Les Trembleurs) Ah! quel bruit dpouvantable! Quel hurlement erfroyable! C'eft fait de moi mildrable! MOBAREC, aArlequin. Ne vous allarmez point tant. ARLEQUIN. Du Dragon je crains la ferre, MOBAREC. Non. Je vois a ce tonnerre, A ce tremblement de terre Que le Genie eft content. B ^ SCE. |