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Show iitf A R L E Q U IN B O U B E K I R . A I R ?O. (Jai fait fouvent refonner mamufette) Si vous craigncz pareille deftin£e, Dites-le moi; parlez confldemment. Jepuis, Seigneur, & des cette joum<fc, Vous derober a remprifonnement. ARLEQUIN. AIR %. (Quand leperileftagr'eable) N o n , non, cela n'eft pas poffible, Sans doute on m e fait obierver; Et vous ne fauriez m e fauver, Sans m e rendrc invifible. BOUBEKIR. An it. (Le fameux Diogene) J'ai fait une machine Qu'on peut nommer divine^, C'eft un cofFre volant. Avec cet equipage, Sans pCril on voyage. A R L E Q U I N . L'ouvrage eft excellent. (meme Air.) Mais n' eft il point magique ? Q ^ H | I M A H O M E T. n7 * B O U B E K I R . Non, non, de Mechanique C'eft un ouvrage pur. Entrez dans m a brouette, Et faites une traite, Pour en etre plus star. Boubekir va chercher fon cofFre, fur le-quel font peints des groupes de nuages & un croiifant, 11 fait entrer Arlequin dedans, en lui difant: AIR 30. (Lanturlu) Je vais vous apprendre C o m m e il faut monter, C o m m e il faut defcendre, O u vous arretcr, D e quel cote prendre, Et voler comme un perdu. ARLEQUIN. Lanturlu, lanturlu, lanturelu. Arlequin fait TeiTai du coffrc. Il en eft charme'. II le baife, embraifeBoubekir, & dit dans Texces de fon admiration : A RLE: \ |
