OCR Text |
Show • • • n ^ • ' "*«' J 3ocT LA CEINTURE Marinette, m o n cceur! M A R I N E T T E. Le me'me penchant qui t'entraine. J'aime le bal a la fureur. C O L O M B I N E. (mime Air.) T u viens faire, friponne, Quelque nouvel Amant. M A R I N E T T E. Vous n'avez pas, je crois, m a bonne., U n autie deflein. C O L O M B I N E. Non vraiment. MARINETTE. A I R 68. (Le Cielhiniffe la befogne) Vois-tu toujours ton Arlequin ? C O L O M B I N E. Depuis quelques jours le faquin N e vient plus voir fa Colombine. Franchement, cela m e chagrinc. (mime Air.) Et toi, comment gouvernes-tu T o n Mezzetin ? m - ^\ MARI- , D E V E N U S , 307 MARINETTE. • r . t Je l'ai perdu; J'ai maltraite le miferable. J'aime pourtant ce pauvre diable. AiR 74. (Je paffe la nuit e? lejour) J'ai crii qu'on perdoit un Amant, Lorfqu'on ceflbit d'etre cruelle: Que c'etoit par-la feulement Qu'on en faifoit un infidelle; Mais nos rigueurs font aujourd'hui Le m e m e effet. COLOMBINE. O h , vraiment, oui, O h , vraiment, oui, O h , vraiment, oui. O n n'en voit plus plus fecher d'ennui, Arlequin ejr Mezzetin entrent dans la Salle du bal. lis sapprochent do Colombine C71 de Marinette pour les lorgncr. S C E N E X. MARINETTE, COLOMBINE: ARLEQUIN, MEZZETIN. COLOM- |