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Show 372 LE T E M P LE En lui-meme il s'applaudira. Le refte eft un profond myftere, Que je juge a propos de taire. Lc G R A N D - P R E T R E , au Comedien. A I R H . (Laire-la, laire lan-laire) Cette reponfe vous dcplait. Le COMEDIEN. Oh ! ma foi, malgre cet Arret, ; Papa, je fuis bien star de plaire. (// sen va.) Le GRAND-PRETRE, fe moquant de lui. Laire-la, laire lan-laire, Laire-la, Laire lan-la. S C E N E XII. Le DESTIN, le GRAND-PRETRE. Le GRAND-PRLTRE; A I R . 12. (Amis, fans regreter Paris) Tout ce qui reluit n'eft pas oiv Ils ont tous ce genie; ,D U DESTI N. 373 Chacun fe croit un * Floridor. La plaifante manie! S C E N E XIII. Le DESTIN, le GRAND-PRE TRE, COLIN, COLINETTE. COLIN. AiR IO. {Mon pere, je viens dev.tnt vous) Miniftre du Deftin, bon-jour. Je vous amene Colinette. D e tous les hameaux d'alentour La Bergere la plus parfaite, D e nos jeunes Beautez la fleur. C O L I N E T T E . Colin eft un Berger flateur. Le GRAND-PRETRE, k Colin. A I R 70. ( Va-t'en voir s'ils viennent) Cet Objet, apparemment, Colin, vous enchante? CO'LI N. Jufqu'a m o n dernier moment Je l'aimerai tendrement. Q 7 Le J Excellent Comedien,«iui vivoit il y a environ So ans. |
