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Show I f 2Z A R L E Q U IN Le P EIN T R E, saplaudijfant] La faridondaine, la faridondon. A R L E Q U I N . D e moi tu le feras auffi; Biribi, h la facon de barbari, M o n ami. Le PEINTRE, Ar*. il. (Laire-la, laire lan-laire) J'aurois befoin de vos bienfaits. A R L E Q U I N , A u premier jour je te promets Une penfion viagere. - JLcPEINTRE,Manlant lattte, en sen alknu Laire-Ia, laire lan-laire, Laire-Ia, Laire lan-la. S C E N E III. ARLEQUIN. le C H E F des Eunuques, le Gr. V1SIR, les trois VOLEURS fui ont voU Arlequin. Le ! ROI DE SERENDIB. 2J Le Gr. VISIR. A I R 7. (Tu croyois, en aimant Colette) O n vient de prendre dans la plaine, Seigneur, par mes foins vigilans, Troie Voleurs que je vous amcne. Jugez vous-meme ces brigands. Arlequin demande a les voir. Ilscntrent. II reconnoit en eux les trois fripons qui Pont vole. II sNfcrie : Ah I gnaff, gniff^ gnoff\ Les Voleurs lc rcconnoiffant aulii, fc jet-tent a fes pieds pour lui dcmander grace j mais Arlequin 6te fon turban, lepofe a terre devant eux, & fait tous les geftcs qu'il leur a vii f2ire. Enfuite il les frape de fa batte. Le Vifir, ennuyd de fes lazzis , lui dit: Le Gr. V I S I R. AIR 9. (Quel plaiftr dt voir Claudine) H e bien, rendez doncjuftice, Mais craignez d'etre trop doux, A quel genre de fupplice, Seigneur, les condamnez-vou^? A R L E Q U I N . A m 5. (Quand le peril eft agreable) Je veux qu'on branche ces comperes; Qu'on les houfpilk tant & plus; Apres / |