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Show i$6 L E T O M B E AU II fait d'une fillette aimable Haufler le prix: Pour peu qu'un minois foit joli, O n le voit bien-tot etabli. ARLEQU IN. Ai* 156. {Amis* neparlons plus de guerre) Apprenez-moi, je vous conjure, Si mes appas A Paris vont faire figure, Et grand fracas. Rcgardez avec quelle grace Je vais danfer. * NOSTRADAMUS. Ce talent, quand il eft en place, Peut amorcer. Apres qu'Arlequin a danfe, Noftradam u s lui dit: AIR 47. (Robin, turelure lure.) Vous avez des pas vainqueurs, U n e appetiffante allure, Vous • Arlequin danfe. Ce perfonnaee fut fait par le Sieur B&*ter TArlequin Anglois , qui danfa le Caprice d'une **.jttieie digue de radmirttion de tous les Spe&atcurs. DE NO.STRADAMUS. 167 Vous allez de mille cceurs. Turelure, Faire a Paris la capture. ARLEQUIN, fautant dejoye. Robin, turelure lure. AIR to. (Du Cap de Bonne-e$eranto\ Daignez en detail m e dire Les exploits dc mes beaux feux. N O S T R A D A M U S , Attendez. Je vais les lire; Ils font ecrits dans les Cieux.} ^ (il va chert her une longue lunette tfapproche). Je vais chercher m a lunette. Vous faurez bien-tot, Brunette, Tous les doux aifaflinats Que vont faire vos appas. A R L E Q U I N , faifant lafemme gracieufe, fur le (ton des deux derniersvers. O h ! fans vanite, je croi Qu'il fera parle de moi. A 1 R 1. (Reveillez vous, belle Endormie.) N O S T R A D A M U S , apris avoir obferve le Cid. D e biens 5c de raau'x quel melange! ARLE- - - - - i . J |