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Show :'f W M 138 ARLEQ.UIN Le K AM,en fefrottant les epaules. A I R 3 5. ( £* w f r Jeunejfe) Tout franc, votre fille Etoit bien m o n fait; Et j'etois un drille... Mais votie valet: Puifque le Prophete En agit ainfi, f Je vais, fans trompctte, Deloger d'ici. • - • . Le Kam fait lareverence au Roi & a la Princefle, & s'en va, SCENE XII. LeR 01, la PRINCESSE, ; la S U I V A N T E. La SUIVANTE, apoftrophant Mahomet. AIR 4. (Comme un Coucou que Xamourprejfe) Mahomet, que ton courroux ceiTe; O n va fuivre tes volontez : T u vois que notre Roi s'emprefle A reconnoitre tes bontez. Lc M A II O M E T. i3p Le ROI, apoftrophant auffi Mahomet. A IR 1 j. (Je ne fuis ne ni Roi , ni Prinu) Ma facrilege reTiftance N'excitera plus ta vengeance: Par Medine j'en fais ferment, Ville ou les Mufulmans fideles, Avec un faint emprelTement, Vont voir tes depouilles mortelles. S C E N E XIII. ; & derniere. Le ROI, la PRINCESSE, la SUIVANTE, ARLEQUIN, le PRINCE de Perfe. Arlequin, qui a tout entendu, profitant de la difpofition ou il voit Tefprit du Roi, fort d'un bofquet ou il a tranfporte le Prince de Perfe, & s'avance avec lui vers le Monarquc. Le KOI, fe jet tant aux pieds dufaux Mahomet AIR 8. (Je reviendrai demain au foir) Vous me voyez a vos genoux. ARL^- |