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Show WBmmr DHnSI 8 8 L A F O I RE ARLEQUIN, /# *«M k doigt fur le front. Mon enfant, ce trait part de la. S C A R A M O U C H E . A i * *4- ( Lampons lampons) Allons, Arlequin, joignons to. Auplutotno Compagnons;*M. Et concertons, fansretnife, Cette grotefque entrepnfe. Lampons, lampons, Gtfnarade, lampons. ARL.& SCAR, if sen allant V en danfant. Ami, foyons Arabes, Soy oris, Soyons Adeurs Arabes. S C E N E II. Le JU.GE, PIERROT. Lc JUGE./ X i R *. ( 3« rtvtendrai demain au fir) Ah! Que te tentes dans ks champs! , Voila bien des Maxchands ? bis' J ^ D E G U I B R A Y . $9 P I E R R O T . Je vois auffi bien des chevaux. Morbleu, que d'Animaux! bis. Le J U G E , d'un air vain. A I R 17. (Menuet d?Hefione.) Ce Peuple, toute cette foule Regoit mes ordres fouverains. P I E R R O T , fouriant. Pierrot, a 1'appui de la boule, Sait faire travailler fes mains. Le J U G E , le regardant de traverf. A I R T$. (Je ne fuis ne niRoi,ni Prince) Ah! Craignez que je ne puniffe Siverement votre avarice! Faites les chofes noblement: Je'hais un efprit mercenaire. Songez que vous etes Normand, Et, qui plus eft, mon Secretaire. P I E R R O T , fur le ton da- dernier wrs. Allez,Monfieur,laitTez-moi faire. ^' Le J U G E. A I R H*". (Ma mere, mariez moi*) Content e-toi done* mon fils, |