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Show 1. am I V IH11 'fife amaaaaaaaaaw.' iotf LA F O I RE Vous allez bien-t6t le favoir. Elles font fort nouvelles. L'efp^ce en eft, allurement, Aflez particuliere; Je vais >ouer dans un moment, Toute une Piece entiere. En voici le iujet. AIR 9. (§L^el plaiftrde voir Claudine) D'une charmante Princefle. U n Prince aime les appas. Ce n'eft point une tigreffc; Jslos Dames ne le font pas. Arlequin fait faire laPrincedc a la premiere Aftrkc. 11 l'aboroe en fai&nt des entrechats, & lui exprime par fes geftes ie plailir qu'ii pre d a la voir. Puis il dit: Ac T E PftEM IER. Le Juge & le Come'dien Italien fe mettent a lire Arlequin & l'Aaiice continued leur fcene mueue. Le Prince tombe dans une profonde reverie. Enfuite il regarded an air langukfam la Priuceile, qui dit, apres Pavoit agacc: A C I E S E C O N D, U D*E G U I B R A Y . to7 L e Comedien & le Juge redoublent leurs ris. Enrin le lazzi s'achevc. Arlequin, tranfponel d'amour, tombe aux gc-noux de fa Princeife, & dit, en fe reh> vant: A C T E TROISIEME. ARLEQUIN, au Juge. A I R 15. (Je ne Juis nk m Roi, ni Prince\ Trouvez-vous la Piece comique \ Le J U G E. Je la trouve tres-laconique. Le COMEDIEN Italien. *Ceft tout ce quelle a de meiLeur, ARLEQUIN, au Comedien Italien. Convcnez que dans cet ouvrage ' II n'eft point, Monfieur le railleur, C o m m e chez vous, de verbiage. Lc J U G E. AIR 5^. (Pourpajfer doucement U vie) Ces Pieces font divertirTantes;, Mais vous ne fauriez plaire ici, Si vous n'en avez dc parlantes. E 6 A R-: |